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16.10.20
NIYAZ | The Fourth Light Project
Théâtre Outremont
1248, avenue Bernard Ouest, Montréal

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«[Niyaz] une force évolutive de la musique contemporaine du Moyen-Orient.» – The Huffington Post

— The Fourth Light Project combine une musique d’inspiration traditionnelle du Moyen-Orient à l’électroacoustique, performances de danse sacrée avec la participation d’une danseuse derviche, des technologies interactives ainsi que des techniques avancées de projection et de «body mapping».

LE PUBLIC AU CŒUR DE LA PERFORMANCE

Alliance entre scénographie numérique et musique en direct, l’expérience nouveau genre qui en résulte crée un environnement illusionniste en trois dimensions éliminant la distance entre les interprètes et le public lui faisant vivre une expérience narrative et multisensorielle sans pareille.

«NIYAZ, groupe visionnaire de la world 2.0, d’inspiration orientale et transculturelle, […] emprunte la piste soufi… électro!» – Alain Brunet, La Presse

L’intégration des aspects visuels au spectacle a été réalisée par le réputé artiste visuel montréalais, Jérôme Delapierre, qui a collaboré avec différents artistes, chercheurs et compagnies comme le Cirque du Soleil, Cœur de pirate, DJ Champion, Alex Nevsky

Il a créé, de mains de maître, un tout nouveau programme qui permet de projeter des images allant de paysages architecturaux aux constellations les plus éloignées sur un écran géant et des panneaux transparents positionnés devant et derrière les musiciens. Grâce à une technique interactive de mapping qui n’avait jamais été réalisée auparavant, le visuel sur scène évolue en direct au rythme des pas de danse de Tanya Evanson – l’une des rares femmes dans l’univers des derviches danseurs –, des inflexions vocales par la sublime voix d’Azam Ali inspirée par une poétesse et première ascète soufie du VIIIe siècle, Rabia Al Basri, et des mouvements des musiciens.

«[Azam Ali et Loga R. Torkian] Ce sont des magiciens hypnotiseurs et de véritables esthètes qui nous ouvrent les portes d’un Proche-Orient mirifique.» – Ralph Boncy, ICI Musique

Azam Ali, voix | Loga R. Torkian, kamaan électrique et lafta | Sinan C, kaval, kopuz | Ravi Naimpally, tabla | Stéphane Gervais, claviers et électronique | Tanya Evanson, danseuse derviche | Will Young, artiste visuel

«NIYAZ a tout ce qu’il faut pour ébranler la musique du monde au 21e siècle.» – fRoots Magazine

À PROPOS DE NIYAZ

Fondé en 2004, Niyaz est un groupe constitué autour de Azam Ali (voix, percussions et santour) et de Loga Ramin Torkian (multi-instrumentiste). D’origine iranienne, le couple et leur enfant ont résidé à Montréal au cours de la précédente décennie, puis regagné la Californie pour des raisons professionnelles à titre de compositeurs de bandes originales pour le cinéma et la télévision. Entre leurs projets solos, quatre albums ont été réalisés depuis.

Au centre de la musique de Niyaz se trouve la voix envoûtante d’Azam Ali, né en Iran et élevé en Inde. Nommée à deux reprises au prestigieux prix JUNO, elle a collaboré à de nombreuses bandes originales de films et de télévision hollywoodiens telles que The Matrix – Revolutions, Prince of Persia, Thor – The Dark World, True Blood, Alias et Prison Break.

Multi-instrumentiste, compositeur iranien et également nommé aux prix JUNO, Loga Ramin Torkian est reconnu sur la scène internationale comme un visionnaire dans son domaine pour sa maîtrise à fusionner le répertoire classique persan à la composition moderne. Il a créé la toute première guitare quart de ton à frettes mobiles qui lui a permis de développer de nouvelles techniques, mélodies et musiques traditionnelles iraniennes à son expression musicale et ses compositions uniques. En demande auprès de nombreux réalisateurs de films à Hollywood (Mychael Danna, Harry Gregson Williams, Hans Zimmer et Ramin Djawdi), Loga a composé des musiques originales notamment pour les films Body of Lies, Iron Man et Prince of Persia.

ALBUM THE FOURTH LIGHT

Enregistré entre Montréal et Istanbul, l’album The Fourth Light (Six Degrees Records, 2015) est constitué de chansons originales du tandem, auxquelles s’ajoutent des pièces turques, afghanes et iraniennes, sur un intriguant mélange de rythmes exotiques et des performances acoustiques exceptionnelles, sans oublier la mélancolie envoûtante de la voix d’Azam Ali.

«C’est à la fois la terre et l’air, le pouls de la cité et le legs des âges, la pulsion électro et l’âme planante, les traditions persanes et celles d’autres peuples minoritaires, le soufisme et le parti pris pour l’égalité des sexes.» – Yves Bernard, Le Devoir – Critique musique

Sous plusieurs angles, The Fourth Light est un album féministe. Les chansons s’inspirent de Rabia Al Basri, poétesse et première ascète soufie, née au VIIIe siècle où se trouve aujourd’hui l’Iraq. Réduite à l’esclavage à un jeune âge, Rabia a su déjouer le destin et trouver la force intérieure et la volonté qui l’ont menée à sa libération en tant que femme, puis en tant que symbole spirituel.

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